Education parentale : comment se faire obéir par son petit bout de chou ?

Être parent est le plus cadeau de la vie, mais c’est aussi une grosse responsabilité. Élever un enfant n’est pas toujours facile, surtout si le petit bout de chou est un vrai tyran ! Si certains parents ne se plaignent pas de leur quotidien avec leurs enfants, d’autres semblent avoir du mal à tenir les rênes. Pire encore, il y a ceux qui étant à bout, ont envie tout simplement d’abandonner faute de solutions. Pourtant, l’enfant qui n’arrive pas à reconnaitre l’autorité parentale, lorsqu’il est en bas-âge, ne sera plus à même de vous respecter plus tard. Alors comment se faire obéir par son petit bout de chou sans trop d’efforts ? Les conseils du psychologue dans cet article.

Même après plusieurs fessées, votre enfant vous aimera toujours !

Arrêtez de vous culpabiliser après avoir réprimandé votre enfant ! Il le sentira à coup sûr et en profitera pour faire davantage de bêtises. Nombreux sont les parents qui ne surmontent pas les pleurs de leurs petits et préfèrent casser le temps de la punition en leur cajolant ou en leur donnant des friandises. Bien sûr, cela ne fera qu’augmenter leur insolence. Et de plus, ils ne sauront plus différencier les câlins des réprimandes. Alors soyez ferme et tenez vos paroles !

Évitez de vous mettre en désaccord avec votre conjoint

L’autorité parentale se joue aussi en deux tons : maman est parfois plus clémente et papa a la main facile. Même s’il y a une opposition entre vos façons d’éduquer vos enfants, ne reprochez pas votre conjoint devant votre enfant. Ce dernier cherchera à chaque fois une échappatoire en balançant entre la maman et le papa, à chaque fois qu’il aura besoin de se protéger.

Faites-le raisonner !

À moins de trois ans, un enfant peut comprendre le sens du mot « non » et ainsi sentir la restriction à travers l’évocation de ce mot. Mais à partir d’un moment où l’enfant raisonne, il se lassera de vos « non » intempestifs. Il se mettra facilement dans l’opposition pour affirmer sa personnalité. Alors au lieu de l’imposer, faites-le raisonner en lui demandant si c’est bien de faire une telle chose et de lui donner une autre alternative. Il s’exécutera mieux.

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